Année : 2012
Catégorie(s) : Drama, Dramatique.
Genre : L'envers du décor.

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LA SÉRIE


Les gravure idoles, ou gradols, sont une véritable institution au Japon. Séduisantes jeunes femmes posant dans des tenues diverses (le plus souvent en bikini), débutant jeunes, voire très jeunes (certaines ont un âge à un seul chiffre: Pedobear Approved!), et prenant généralement leur retraite avant la trentaine, elles sont un peu l'équivalent nippon des Playmates de Playboy, en plus habillées. Baser une série entière sur cette profession était-il réalisable? Toranaide kudasai!! répond à cette question par l'affirmative.


Une série sur les coulisses du métier de gravure idole.

Le studio TV Tokyo (Prononcez "Terebi Tokyo" ou, en abrégé, "Tereto") veut constituer un groupe d'idoles baptisé "Tereto 7-chan Girls". Dans ce but, ils lancent une vaste campagne de recrutement à l'issue de laquelle 19 finalistes sont sélectionnées parmi 500 postulantes. Les heureuses élues participent ensuite à une finale télévisée à l'issue de laquelle seront désignées les sept membres du groupe et comportant une épreuve en maillot de bain, une épreuve de danse (la seule pour laquelle les concurrentes ne sont pas en bikini), une épreuve de chant (l'occasion de découvrir que l'une d'elles chante comme une casserole (Ne l'accablons pas car elle en est consciente)) et une épreuve secrète dont la teneur ne sera révélée qu'au dernier moment.


Sujet du bac de philo: "Qu'est-ce qu'une gravure idole?" Vous avez 12 épisodes.


Finaliste de dernière minute, Saki Tachibana remplace Eri Wada, tombée malade au dernier moment, provoquant des soupçons de tricherie parmi les autres concurrentes.

Si le premier épisode de Toranaide kudasai!! se déroule quelques instant avant le début de la finale, alors que les candidates se changent et discutent (se disputent, pour certaines) en attendant de monter sur scène, il faudra attendre les deux derniers épisodes pour assister à ladite finale. Les épisodes 2 à 10 se déroulent en effet pendant la semaine qui précède, durant laquelle chaque candidate est suivie par un cameraman quand elle ne filme pas elle-même ses faits et gestes avec la caméra qu'on lui a confiée.


Documentaire ou pas, ils préfèrent entretenir le flou sur les immeubles où habitent les héroïnes.


Filmée 24h/24 ou pas, j'ai ma pudeur, moi!


À bas la censure!


Bravant les interdits, Toku-Onna n'hésite pas à vous montrer le minou de Yukie Kawamura.


Méfiez-vous des imitations!

Présenté comme ça, on dirait une émission de télé-réalité façon Nouvelle Star mais ne vous y trompez pas: Toranaide kudasai!! est bel et bien une fiction et ne s'en cache pas. D'ailleurs, afin de bien nous faire comprendre que les personnages incarnées par les actrices principales ne sont pas vraiment elles, même si elles portent les mêmes noms et reprennent des éléments de leurs backgrounds, leurs patronymes ne sont jamais écrits en kanjis, comme c'est normalement le cas, mais en katakanas (écriture phonétique réservée aux noms d'origine étrangère).


Le générique de fin de chaque épisode montre les candidates répondre à une question différente à chaque fois.


Ça fait quand même bizarre de voir une série conçue comme un documentaire se terminer par la mention "Ce programme est une fiction".

Chaque épisode va donc se concentrer sur une candidate et la suivre dans sa vie de tous les jours, avec parfois une vague intrigue, tantôt intéressante (Mari Okamoto harcelée par un corbeau), tantôt risible (Eri Wada se dispute avec son impresario parce qu'elle a refusé... de poser en mangeant une glace!), et se conclure alors que l'héroïne se rend à la finale. A ce moment, l'image freeze et l'épisode repasse en retour accéléré avant de s'arrêter deux semaines plus tôt pour nous montrer l'audition préliminaire de l'héroïne de l'épisode suivant. Et ce jusqu'à l'épisode 10 à la fin duquel on nous repasse le premier épisode en accéléré pour terminer sur les candidates quittant le vestiaire pour monter sur scène. Évidemment, comme la série ne comporte que 12 épisodes, vous vous doutez que seules quelques candidates auront l'honneur de jouer le rôle principal le temps d'un épisode tandis que les autres se contenteront au mieux, de jouer les personnages secondaires et au pire, de faire de la figuration à l'arrière-plan.


Il fallait s'y attendre avec un sujet pareil: un plan-fessier!


Mais cette fois, l'égalité des sexes est respectée.


Est-il bien nécessaire de flouter le visage de ce figurant dans l'épisode 10...


... alors que ce n'était pas le cas quand on a vu cette scène pour la première fois dans l'épisode 2?

Toranaide kudasai!! est aussi l'occasion de fournir une réflexion sur le métier de Gravure Idol et les scénaristes n'hésitent pas à nous montrer que ces demoiselles qui font rêver les otakus n'ont pas toujours une vie facile. Et histoire de bien nous le faire comprendre, chaque épisode inclue une scène où l'héroïne pleure, sans oublier la fameuse épreuve secrète qui consistera pour les concurrentes à dire à chaud ce qu'elles pensent de leur profession en moins de 90 secondes (Les réponses tenant compte des événements fictifs de la série, je doute que l'épreuve était si secrète que ça) et que chacune terminera avec les larmes aux yeux.


Ce programme vous est offert par les mouchoirs Kleenex.


Il y a une nette différence d'ambiance entre le voyage d'aller...


... et celui de retour.

D'ailleurs, dans l'épisode 10 qui se déroule la veille de la finale, une candidate qui a finalement décidé de ne pas y participer (elle changera d'avis à la fin) expose au caméraman qui la suit les dix raisons pour lesquelles elle veut arrêter sa carrière, chaque raison étant illustrée par des extraits des épisodes précédents et/ou des interviews des autres candidates. Si certaines raisons invoquées sont effectivement sérieuses (faible salaire, stalkers...), d'autres sont franchement humoristiques comme le fait que l'intéressée n'a pas beaucoup de poitrine (argument illustré par Tomomi Nakagawa passant son audition en faisant du saut à la corde en bikini, difficile de trouver un exemple plus parlant) ou qu'elle est frileuse (vous ne pensiez quand même pas que les gradols ne posaient en bikini qu'en été?). Et si vous êtes très observateurs, vous remarquerez que le décor de la scène où a lieu la finale comporte des inscriptions reprenant certains de ses arguments. Je serais d'ailleurs curieux de savoir combien de spectateurs l'auront remarqué du premier coup.


"Même nous, nous voulons un chéri", "Nous ne sommes pas des objets décoratifs", "Nos salaires sont tellement bas", "Je ne peux pas aimer tous mes fans"... C'est une finale ou une manif?


Maîtresse gravure idole, sur un arbre perchée, se gelait les fesses par ce froid.


Le métier de gravure idole ne nourrissant pas son homme, Nana Ozaki est obligée de travailler dans un restaurant pour arrondir ses fins de mois.

La série suit une narration déstructurée. Ainsi, chaque épisode débute par des extraits de scènes à venir, mais il est également fréquent que certains passages soient morcelés et entrecoupés de séquences se déroulant à d'autres moments. Si cette technique favorise le suspense et permet de ménager quelques surprises, comme une scène qui se révèle provenir en fait du tournage d'un film, elle pose parfois problème. Ainsi, dans l'épisode 7, une scène de poursuite entre l'héroïne du jour, une rivale et le caméraman qui tente de les rattraper est interrompue par une séquence se déroulant plus tard, avant de reprendre quelques instants avant la coupure et le spectateur remarque aussitôt... qu'il s'agit d'une autre prise! Insérer un faux-raccord dans un plan-séquence, ils sont forts, ces japonais!


Contrairement aux autres concurrentes, Mari Okamoto n'est pas une gravure idole mais une imitatrice.


Pou-pou-pitou!


Heu... Mademoiselle, vous avez une bestiole sur le dos.

Le concept de la série étant que les épisodes 2 à 10 racontent des événements simultanés ayant lieu dans la même ville (A l'exception de l'épisode 6 qui suit un quatuor de candidates passant la semaine dans un ryokan (hôtel de style japonais) où elles s'entraînent en vue de l'épreuve de danse), on pourrait s'attendre à de multiples interactions entre les différents épisodes mais cette idée, pourtant riche de potentiel, n'est pratiquement pas exploitée. Il y a bien les épisodes 2 à 4 dont les héroïnes croisent à chaque fois celle de l'épisode suivant le temps d'une courte scène qui sera commune aux deux, mais ça ne va pas plus loin et ne mène nulle part. Il aurait été intéressant de faire en sorte qu'une même scène ait un sens complétement différent quand on la découvre du point de vue de l'autre protagoniste. Voire même, soyons fous, que des séquences réparties dans les différents épisodes forment un vaste puzzle que le spectateur reconstituerait à mesure que la série progresse. Mais non. En fait, le seul moment où le principe du "crossover inter-épisode" est bien exploité, c'est quand il est réutilisé vers la fin de la série: l'héroïne de l'épisode 9 est témoin d'une dispute entre l'héroïne de l'épisode suivant et son caméraman, tandis que l'épisode 10 montre les deux personnages discuter dans un restaurant avant de sortir un bref instant en oubliant leur caméra à l'intérieur, la scène de l'épisode précédent correspondant donc à ce moment "hors caméra".


Alors, comment ça se passe dans ton épisode?


Plutôt bien, et dans le tien?

Il y a aussi des cas où on est en droit de se gratter la tête. Prenez le personnage de Tomomi Nakagawa. Dans l'épisode 5, elle fraternise avec Ayaka Komatsu au point que les deux idoles s'entrainent ensemble pour l'épreuve de danse de la finale et qu'Ayaka s'attire des ennuis en ayant une violente altercation avec un stalker qui harcelait Tomomi. Le problème? C'est que Tomomi apparaît dans pratiquement chaque scène d'entraînement de pratiquement chaque épisode (et toujours dans la même tenue) mais qu'Ayaka n'est présente À AUCUN MOMENT. Seule explication logique: Ayaka se contentait de s'entraîner cinq minutes par jour tandis que cette perfectionniste de Tomomi préférait le faire 24h/24 et 7j/7! Inutile de dire que ce genre d'incohérence nuit à l'aspect "documentaire" de la série.


- Au nom de Venus, je vais te punir, stalker!
- Hé, ho! Tu n'es plus dans Sailor Moon, Ayaka!


Une fan d'Ayaka Komatsu en cosplay de son idole.


Ongles inclus!

Mais de toute façon, le résultat à l'écran ne pouvait pas passer pour un documentaire pour une raison bien simple: les effets de montage! Alors que chaque scène est censée être filmée sur le vif par un caméraman unique, on a droit à des champs-contrechamps, à des inserts de gros-plans ou à une même scène filmée sous différents angles. À moins que les caméras japonaises soient tellement sophistiquées qu'elles permettent de filmer simultanément sous plusieurs angles différents, l'aspect documentaire en prend un coup. Un coup mortel, même.


A part ça, elle est suivie, en tout et pour tout, par UN SEUL cameraman. (Je vous rassure: l'image provient du making of)

À part ça, vous voulez savoir qui remporte cette fameuse finale? Hé bien, au moment où le jury va annoncer les noms des gagnantes après moult effets de suspense, on se retrouve devant le générique de fin. Mais alors qu'on se dit "Wah, le cliché, hé!", le générique freeze et c'est cette fois toute la série qui repasse en retour accéléré, faisant une pause sur la réplique qui concluait le premier épisode (グラビア 舐めん な よ (Gravia namen na yo) = Ne traite pas le métier de gravure idole avec mépris) avant de repartir à nouveau en arrière pour s'arrêter trois semaines avant la finale sur... la comédienne en train d'apprendre cette réplique! Elle n'est d'ailleurs pas la seule car toutes les actrices principales de la série sont dans la même pièce en train d'étudier leur texte tandis que défile un nouveau générique. Et alors qu'elles s'apprêtent à sortir, la mention "Tout ce que vous avez vu jusqu'à présent était une fiction" apparaît à l'écran et le réalisateur crie "Coupez!". Une mise en abîme de mise en abîme!


C'est ce qui s'appelle une mise en abîme à tiroir.

Mais si cette conclusion ressemble à un cliché, il y a en fait une raison très simple pour laquelle les noms des gagnantes ne sont pas révélées à la fin de la série: pour laisser aux spectateurs le temps de voter! Car si Toranaide kudasai!! est une fiction, la série se base sur un événement réel: TV Tokyo a bel et bien sélectionné les 19 héroïnes parmi 500 candidates et demandé au public de voter pour élire les sept membres de Tereto 7-chan Girls! Quand je vous dis que cette série aime jouer sur la frontière floue entre réalité et fiction! (Et si vous voulez savoir, c'est Ayaka Komatsu qui est arrivée très largement en tête avec 8841 voix, soit plus de 5000 voix d'avance sur les autres concurrentes)


And the winners are ... On ne vous le dira pas!!!

Niveau bonus, l'édition DVD de la série nous gâte. En plus d'un livret comportant des photos, des commentaires des actrices principales et des extraits du script original, on a droit à deux DVD de bonus. Le deuxième est déjà bien riche en contenu: making of, version longue de certains passages, interviews, séances de pose des héroïnes en bikini, quelques scènes supplémentaires en cosplay et une compil des trailers des différents épisodes. Celui du dernier vaut d'ailleurs le coup d'œil, puisqu'il s'agit d'un faux trailer conçu comme s'il s'agissait d'un film d'horreur dans lequel les candidates s'entretuent.


Notez, une finale pareille, ça aurait fait de l'audience.

Mais le premier DVD est réellement la cerise sur le gâteau car il comporte ni plus ni moins que l'intégrale de la finale de 2h30 (les épisodes 11 et 12 n'en montre que des extraits) diffusée en février 2012 (un mois avant la série)! Et si cette "version longue" ne s'interrompt pas au moment où les présentateurs vont annoncer les noms des gagnantes, ils éviteront là-aussi de les nommer et ce, avec beaucoup d'humour.


Une photo compromettante pour Anri Sugihara.


- Qu'est-ce qu'on fait pour cette photo?
- L'essentiel, c'est que ça ne s'ébruite pas.


- Heu... Tu as pensé à couper ta caméra?
- Woups!


Une série dont les héroïnes vous feront fondre mais ne vous laisseront pas de glace!




BILAN


Concept = 5 / 5
Mélangeant réalité et fiction tout en se gardant bien de préciser ce qui est réel et ce qui ne l'est pas, Toranaide kudasai!! est un drama conçu comme une vraie-fausse émission de télé-réalité. Si la série laisse rarement passer l'occasion de nous montrer ses gradols d'héroïnes dans l'exercice de leur fonction (c'est-à-dire: posant en bikini), elle se livre également à une réflexion sur "cet étrange métier où on porte des maillots de bain même quand on n'est pas à la mer" (pour citer une des héroïnes) en nous en montrant les coulisses tout en jouant parfois la carte de l'autodérision.



Scénario (Intrigue globale) = 3 / 5
La série n'exploite malheureusement pas les possibilité offertes par le fait que les épisodes 2 à 10 se déroulent en même temps, alors que ça lui aurait permis de jouer sur les interactions et les scènes communes entre eux.



Scénario (Épisodes) = 3,4 / 5
L'aspect "fausse télé-réalité" fait que certains épisodes ont plus de scénario que d'autres et même si les récits ne lésinent pas sur le mélo, il ont le mérite de nous rappeler que ces jolies femmes en bikini qui font fantasmer les otakus sont avant tout des êtres humains et que leur métier comporte son lot de joies et de peines. Il en résulte une série qui plaira surtout aux fans des idoles qu'elle met en scène, mais qui a le mérite de ne pas être creuse. (Voir la section Épisodes pour plus de détails)



Mise en scène = 2 / 5
D'habitude, je ne note pas le montage et la mise en scène, n'ayant pas les connaissances nécessaires pour bien juger. Toutefois, ici, la seule règle était de filmer chaque épisode comme un reportage filmé avec une ou deux caméras (Celle de l'actrice et celle du cameraman qui l'accompagne) et la série échoue trop souvent à la respecter en filmant une même scène sous différents angles et avec différentes valeurs de plans. Une erreur qui casse l'illusion alors qu'elle était facilement évitable.



Héroïnes = 3,5 / 5
La série a beau mettre en scène 20 gradols jouant leur propre rôle, seules 15 d'entre elles ont droit à des épisodes centrées sur elles (Et encore, Saki Tachibana débarque au dernier moment et a donc moins de temps de présence que les autres, n'apparaissant même pas au générique) tandis que les autres se contentent d'être là. (Voir la section Participantes pour plus de détails.)



Casting = 4 / 5
On pourrait croire que les actrices ont la tâche facile puisqu'elles jouent leur propre rôle mais leur véritable défi est de le jouer de façon suffisamment naturelle pour convaincre le spectateur qu'elles ne jouent pas et lui donner l'illusion qu'il regarde un vrai documentaire. Et même si aucune ne joue mal, certaines arrivent mieux que d'autre à créer cette illusion.



Musiques = 1 / 5
Outre les musiques intradiégétiques qu'on entend quand les héroïnes chantent ou dansent, la série possède quelques musiques d'ambiance peu mémorables, pas toujours adaptées aux situations qu'elles illustrent et semblables aux musiques génériques qui accompagnent justement les vidéos des gravure idoles.



Générique(s) = 3,5 / 5
Accompagné de la chanson Lucky Star de Lil, le générique de début commence par un montage rapide de séquences présentant les 9 actrices principales dans l'ordre alphabétique japonais avec quelques effets de style bizarres comme des plumes passant devant l'écran ou des incrustations d'images. Cette partie comporte d'ailleurs une telle succession d'images que si je les avais toutes utilisées, le collage ci-dessous aurait fait 10 km de haut! Apparaît ensuite un écran affichant des extraits de l'épisode à venir, puis les actrices secondaires et tertiaires - toujours dans l'ordre alphabétique japonais - sous la forme d'images découpées qui se reconstituent quand les morceaux recouvrent l'image précédente. Si ce générique a de la personnalité avec ses images découpées et ses héroïnes portant des bikinis qui sont leurs tenues de travail, son montage trop rapide le rend désagréable à l'œil. ( 3 / 5)


Accompagné de Watershed par The Audio Pool, le générique de fin est plus agréable avec ses séances de pose devant lesquelles défilent les crédits tandis qu'apparaissent des images des candidates répondant à une question différente à chaque épisode (Saki Tachibana n'apparaît évidemment que dans les deux derniers). Leur ordre d'apparition change également d'un épisode à l'autre pour se terminer par l'actrice sur laquelle celui-ci était centré. Son nom est d'ailleurs mis en valeur dans les crédits en étant indiqué par des papillons multicolores tandis que ceux des éventuelles actrices secondaires le sont par des étoiles. (4 / 5)




NOTE FINALE = 12,7 / 20