Année : 2013
Catégorie(s) : Local hero.
Genre : Catch me if you can.

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LA SÉRIE


Mêlant affrontements plus ou moins chorégraphiés et sens du spectacle, le catch est un sport de combat très populaire au Japon et une influence majeure derrière le tokusatsu. Il semblait donc inévitable que tôt ou tard, on ait droit à une série de tokusatsu centrée sur ce sport. Plutôt tard que tôt, d'ailleurs, puisqu'il faudra attendre Fire Leon en 2013 (Aztekaiser ne compte pas car réalisé en partie en animation). Mais mieux vaut tard que jamais, n'est-ce pas? Surtout quand la série en question se double d'une parodie à haute teneur en portnawak.


Que le combat commence!

Passionné de catch depuis son enfance, le jeune Takeru Gôdô rêve de devenir le catcheur le plus fort du monde et s'entraîne quotidiennement pour y parvenir. Mais il est hanté par un souvenir douloureux car ses parents, Kaoru et Mari, ont été enlevés sous ses yeux alors qu'il était enfant et il vit depuis chez Kenichi Kusayanagi et ses deux filles: Yû qui dirige le Café Friends et Hiina qui voit en Takeru bien plus qu'un simple ami d'enfance.


La dernière fois où la famille Gôdô aura été réunie.


Et encore: il manquait la sœur cachée.


Métaphore!


Takeru déprime.


Hiina simule une agression pour le faire sortir de sa léthargie.


Euréka!


Kenichi soigne Takeru à l'aide d'une technologie de pointe.

Depuis ce funeste jour, son père est retenu prisonnier par Crager Sin, le dirigeant de Jeard, une organisation criminelle qui organise des tournois de catch clandestins dans lesquels s'affrontent les Bio Wrestlers, des monstres créés par Kaoru en combinant l'ADN d'animaux à celui de catcheurs célèbres.


Takeru (se faisant passer pour son clone) et Hiina (se faisant passer pour un sbire) infiltrent la base de Jeard. (Je vous jure que je n'invente rien)


Kaoru tente une opération de la dernière chance pour rendre la vue à son fils.


Ingrédients pour fabriquer un Bio Wrestler: 150 ml d'ADN de catcheur, 80 ml d'ADN d'autre chose (je doute qu'un moai ait un ADN, mais passons ...), 100 g de yaourt, 30 g de champignons, sucre, sauce soy, alcool de riz, noix, algues ... (Important: ne pas avaler!)


Et voilà le travail!


Regardez le bien dans les yeux.


Ciel! Nous somme paralysés.


Pas grave: j'ai trouvé la parade.

Mais un jour, le Bio Wrestler Bruzakk échappe à la surveillance de Jeard et sème la panique en ville, menaçant de révéler au monde l'existence de l'organisation. Chargée de ramener le fuyard, La Doll (la sexy-méchante de service) a la surprise d'assister à un affrontement entre Bruzakk et Takeru au cours duquel ce dernier se transforme en un surhomme nommé Fire Leon en se coiffant d'un casque conçu par son père, le soldier mask.


Crager Sin, le commandant de Jeard.


Sa télékinésie se manifeste sous forme d'incrustations ratées.


Aïe! Je n'aurais pas dû dire ça, ça l'a mis en rogne.


Aucun doute, ce sont bien ses cellules.

A partir de ce jour, Jeard va chercher par tous les moyens à s'emparer du soldier mask, envoyant ses Bio Wrestlers affronter Fire Leon les uns après les autres, au point que Takeru et La Doll finissent par considérer ces combats comme des formalités.


Laissez-moi deviner ... Ils sont derrière moi, c'est ça?


Takeru joue au chat et à la souris avec son adversaire.


Vous connaissez le cliché du personnage qui, après un coup donné par son adversaire, est projeté dans une pile de cartons? Hé bien, Fire Leon pousse ce cliché à l'extrême et on trouve des piles de cartons dans les endroits les plus incongrus, même (surtout) quand ils n'étaient pas là sur le plan précédent.

Les duels opposant Fire Leon aux Bio Wrestlers suivent généralement le même déroulement sur deux épisodes: la première partie se termine sur un cliffhanger avec Fire Leon dépassé par la technique de combat de son adversaire et sur le point de perdre le combat, tandis que dans la deuxième, il est sauvé par une intervention extérieure et remporte le combat suivant après avoir appris à la faveur d'un entraînement un moyen de contrer l'attaque de son ennemi.


Tiens? Je ne savais pas que l'entraîneur de Jeanne & Serge avait une fille.


997, 998, 999, et 1000! (chiffres authentiques!)


Allo? Mais non, tu sais bien que tu ne me déranges jamais, voyons.


Je me demande si cet exercice sera utile pour le prochain combat?


Question idiote.

Influence du catch oblige, les combats entre Fire Leon et les Bio Wrestlers se déroulent généralement sur un ring que le héros fait apparaître au début du combat et sur lequel les deux adversaires multiplient les attaques emblématiques de ce sport, tandis que la sexy-méchante La doll ou sa rivale Julia expliquent lesdites attaques aux spectateurs.


Fire Leon soigne son entrée.


Copieuses!


Fight!

Car Fire Leon n'est pas une série qui se prend au sérieux. C'est une parodie assumée à côté de laquelle le Batman des années 60 ressemble au Dark Knight de Nolan. La première chose que l'on remarque, ce sont évidemment les effets spéciaux volontairement calamiteux. C'est bien simple: jamais les adversaires d'un toku-héros n'auront autant ressemblé à des comédiens en costume (productions Zen Pictures incluses)!


Dans quel autre série verrait-on le héros affronter un hybride de Toutânkhamon et de Hulk Hogan?


Le célèbre axe bomber de Hulk Hogan prend ici un sens littéral.


Ce monstre mi-homme, mi-chauve-souris est inspiré du catcheur Fred Blassie, dont le gimmick était de mordre ses adversaires lors des combat. Il est célèbre au Japon pour avoir affronté le légendaire Rikidôzan dans un combat tellement sanglant que la légende prétend que certains spectateurs ont succombé à des crises cardiaques!


On notera que sans ses dents, il fait beaucoup moins peur. (et qu'on voit la bouche de l'acteur, soit dit en passant)


Quelle coïncidence: alors que Fire Leon affronte ce monstre, Yû lit à des enfants une histoire avec une chauve-souris.

Et ne parlons pas de la base de Jeard qui n'est qu'une maquette qui ne trompe personne ou des jouets utilisés pour illustrer les explications des personnages.


La métaphore dite "du cookie".


Celle de la grenouille et du serpent.


Et celle du ... du ... du quoi au juste?


Ce sbire s'autodétruire dans 3, 2, 1 ...


Zéro!


Y en a marre! On va se plaindre à notre syndicat.


La multiplication des sbires.


Tiens moi cette bombe pendant que je fais des moulinets avec ma pagaie.


BONG!


Oh, pardon, collègue.


Un sbire déguisé pour passer inaperçu.


Le masque de luchador, ça ne va pas à tout le monde.

Dans le même genre, on a droit à des images "fixes" où les acteurs peinent clairement à rester immobiles, ou des "ralentis" qui sont en fait filmés à vitesse normale tandis que les acteurs bougent et parlent le plus lentement possible, aidés par des kurokos (acteurs habillés en noir pour se fondre dans le décor et assurer les effets spéciaux dans le théâtre japonais) pas du tout discrets.


Ne bougeons plus.


Un drame imminent! (Je précise que c'est censé être un vrai caniche et que le vélo est censé être en train de rouler)


Je dois y aller: la justice m'appelle!


Et la folle poursuite s'engage.


Le photographe Hiyama se prend pour Kikaider.


Des kurokos? Où ça, des kurokos? Je ne vois aucun kuroko!


Et je ne vois aucun tapis non plus.

Un gimmick important de la série, ce sont ses guest stars. Fire Leon croise ainsi régulièrement de véritables catcheurs de la New Japan Pro Wrestling dont les apparitions sont toujours commentées par un des personnages de la série récitant leur CV.


Merci du coup de main, guest star.


L'enfance martyre de Tetsuya Naitô (reconstitution).


Ha, ha! On fait moins les fiers, maintenant.


Dans l'épisode 19, c'est carrément le chanteur Shûta Morishima qui vient encourager Fire Leon en chantant le générique de la série.

Même Daitetsu, le coach du héros est incarné par un authentique coach de la New Japan Pro Wrestling: Takeshi Misawa. Sans parler d'Erika Ura et de Yuzuki Aikawa, interprètes des sexy-méchantes La Doll et Julia Kisaragi (aucun lien de parenté avec Cutie Honey), qui ont la double compétence gravure idole et catcheuse professionnelle.


Jeard recrute.


Hiina se présente au casting.


Mais c'est Julia Kisaragi qui est recrutée.


Une candidate conteste cette décision.


Mais Julia lui oppose des arguments frappants.


La Doll, sexy-méchante très sexy (Derrière elle, des joueurs de hula hoop qui se déplacent à chaque changement de plan pour rester dans le champ de la caméra).


Julia, sexy-méchante très méchante.


Il n'y a de la place que pour une seule sexy-méchante dans cette série!


Amateurs de catch féminin, l'épisode 20 est pour vous.

La présence de ces catcheurs n'est pas surprenante quand on sait que la New Japan Pro Wrestling appartient justement à Bushiroad, la société qui produit la série. Et comme Bushiroad produit également le dessin animé Milky Holmes, un des épisodes de Fire Leon utilise carrément les héroïnes du dessin animé comme guest stars. Ou plutôt leurs seiyûs habillées comme leurs personnages respectifs et parmi lesquelles on reconnaît ... deux des actrices principales de Fire Leon! Mais bon, dans une série où les personnages lisent parfois leur script pour savoir ce qu'ils doivent faire ensuite, qu'y-a-t-il d'étonnant à ce qu'ils croisent parfois les acteurs qui les incarnent?


Même les héroïnes de dessin animé fréquentent le Café Friends de Yû.


Et comme c'est la même actrice qui joue les deux personnages, Yû et Sherlock Shellingford en profitent pour se faire photographier ensemble.


Photographie prise par Nero Yuzurizaki ...


... qui est interprétée par la même actrice que Motomi. Ici en mode "Saturday Night Fever".


Ah, pardon, c'était en fait le mode "Beam me up, Scotty".


Reconstitution de l'enfance de Motomi.


OUIN! C'est si émouvant.

Mais la série utilise d'autres guest stars plus étonnantes en la personne de local heroes. Ces super-héros vedettes de spectacles live et de films à petit budget quittent ainsi leurs villes respectives en compagnie de leurs adversaires attitrés le temps d'un petit crossover avec Fire Leon, leurs apparitions s'accompagnant d'un texte à l'écran résumant leur background. Mieux: le dernier épisode révèle même que l'ennemi juré d'un de ces héros locaux n'est autre que le père d'un des personnages principaux de Fire Leon!


Rien n'étonne les Japonais, pas même quand un superhéros affronte un supervilain devant leur maison.


Dio-dio-dio-dio-dio! (sic)


- C'était quoi, ça?
- Aucune idée.

Fire Leon comporte 26 épisodes (appelés "rounds") répartis sur deux saisons séparées par une interruption d'un trimestre (et non un an comme pour les séries américaines). La première saison comporte 12 épisodes et se termine quand Fire Leon utilise pour la première fois son attaque caractéristique du "fire suplex" (Et oui, à la différence des toku-héros classiques qui dévoilent leur attaque finale dès leur premier combat, Fire Leon mettra une douzaine d'épisodes à la mettre au point) tandis que Jeard recrute un nouveau membre en la personne de Julia Kisaragi.


Hiina mène l'enquête.


Et retrouve par hasard le père de Takeru.


Mais sa méthode pour le délivrer laisse à désirer.


Résultat.


Quand les cookies résistent au maillet, c'est mauvais signe.


Le curry de Hiina a des effets surprenants sur les consommateurs.


Quand elle essaie de noyer ses soucis dans la crème glacée, c'est qu'elle s'est disputée avec Takeru.


Le casque est très tendance, cette année.


GRAOR!

Signalons enfin que presque chaque épisode se termine par une courte séquence mettant en scène Yû, la plupart du temps répondant à un appel ou un SMS de sa sœur avant de prendre la pose face à la caméra. Les auteurs doivent d'ailleurs particulièrement aimer ces séquences puisqu'elles sont compilées (ainsi que quelques-unes qui n'avaient pas été utilisées) dans les bonus de l'édition DVD.


La minute Yû.


Remplacée par Crager Sin dans l'épisode 21 (Ce qui fait protester Yû en voix off).


Ben? Pourquoi je n'ai pas de dialogue dans cet épisode?


Nous, on sait!


Au secours! De vilains bonshommes m'enlèvent!


Ben quoi? Vous n'avez jamais vu une somnambule faire les cent pas en dandinant des fesses?


Cette chronique est maintenant terminée, merci de l'avoir suivie.



BILAN


Concept = 4,5 / 5
Une série mêlant les codes du catch à ceux des super-héros japonais dans une ambiance autoparodique qui ne l'empêche pas d'avoir quelques moments dramatiques et/ou touchants très réussis.



Scénario (Intrigue globale) = 4 / 5
Si les épisodes suivent une formule un peu répétitive dans la première moitié (voir ci-dessous), la série vaut pour ses nombreuses intrigues fil rouge parfaitement gérées et il est recommandé de la regarder plusieurs fois pour mieux repérer les différents indices (Par exemple, la révélation dans l'épisode 3 qu'un des personnages est en réalité un agent de Jeard était préparée dès le 1). Il y a toutefois quelques intrigues qui ne sont pas résolues à la fin (pour laisser une porte ouverte à une éventuelle suite?): quel est le sort final de Julia? Qui est le vrai leader de Jeard? Qu'est devenu la mère de Takeru?



Scénario (Épisodes) = 3,8 / 5
Si les épisodes de la première saison souffrent d'une formule répétitive avec un épisode qui introduit un nouvel ennemi et se termine alors qu'il est sur le point de vaincre Fire Leon grâce à sa redoutable technique de combat, et le suivant où notre héros s'en sort grâce à une intervention extérieure avant de trouver une parade à la technique de combat de son adversaire et de le vaincre, ceux de la saison suivante sont plus variés et le confrontent à des enjeux plus personnels: un clone maléfique, une malédiction menaçant de mort une de ses proches, la terreur que lui inspire Crager Sin et enfin, son propre père. (Voir la section épisodes pour plus de détails)



Humour = 5 / 5
Personnages tous plus farfelus les uns que les autres, ruptures régulières du quatrième mur (personnages lisant leur script ou rencontrant leur propres interprètes quand ils ne s'adressent pas directement au spectateur), clichés poussés à l'extrême, effets spéciaux volontairement calamiteux... Cette série est un délire aussi permanent qu'hilarant, au point qu'on renonce rapidement à y chercher une éventuelle logique interne.



Héros = 4 / 5
Takeru Gôdô est un héros fort sympathique à l'enthousiasme communicatif.



Costume(s) = 3,5 / 5
Le design est bon, avec une armure reproduisant l'aspect d'une musculature humaine, ce qui est approprié pour un super-héros catcheur, sport où les combattants sont habituellement torse nu. Cependant, les couleurs (sans doute choisies en référence aux coins rouge et bleu d'où les combattants se font face sur un ring) ne s'harmonisent pas très bien et la ceinture (qu'il ne garde heureusement jamais longtemps) est beaucoup trop grande pour être esthétique.



Morpheur(s) = 4 / 5
Ici, le morpheur du héros est également son casque qui bénéficie d'un très joli design évoquant une tête de lion.



Séquence(s) de transformation = 2 / 5
Malgré quelques bonnes idées (le rugissement poussé par le héros alors que son visage devient son masque, les muscles qui gonflent), le fond enflammé et le filtre rouge sombre nuisent à la lisibilité de la séquence qui n'est de toute façon pas très claire: Fire Leon revêt son soldier mask ou bien son visage devient le soldier mask quand il pousse son rugissement? Il faut choisir!



Personnages réguliers = 5 / 5
Une savoureuse galerie de personnages aussi farfelus qu'attachants.



Guest stars = 4,6 / 5
Catcheurs et héros locaux viennent régulièrement faire un petit coucou dans la série, parfois juste pour le plaisir de caser une guest star, mais le plus souvent de manière appropriée puisqu'ils jouent un rôle dans l'histoire en venant en aide au héros et/ou en lui donnant des conseils pour vaincre son adversaire, ou bien ont un rapport avec la thématique de l'épisode. Les Milky Holmes sont surtout là pour faire la promotion de leur dessin animé, mais leur intervention reste sympathique et fun grâce à Suzuko Mimori qui y joue un double rôle.



Ennemi(s) récurrent(s) = 3,4 / 5
On a un très bon trio d'ennemis principaux aux costumes élaborés avec l'exubérant Crager Sin (4 / 5), l'ambivalente La Doll (4,5 / 5) (qui a, en plus, droit au meilleur costume de la série) et le savant fou récalcitrant Kaoru / God Rauser (5 / 5). Julia Kisaragi (1 / 5) est malheureusement bien moins gâtée niveau costume et, à cause de sa personnalité sérieuse et sévère, n'a pas cette pointe de folie qui fait le charme de ses collègues. Son personnage n'est même pas conclu puisqu'il quitte la série sans explication. Quant aux Rudemen (2,5 / 5), malgré leur look sympa inspiré des luchadores, ils ne participent pas aux combats et se contentent de jouer les souffre-douleurs et les comedy reliefs.



Monstres de la semaine = 3,5 / 5
Malgré l'aspect cheap parfaitement assumé de leurs costumes, baser les antagonistes d'une série qui a le catch pour thème sur des "heels" réels est une très bonne idée (Voir la section Bio Wrestlers pour plus de détails)



Base(s) = 1,5 / 5
Le quartier général de Jeard est volontairement cheap (une maquette évidente pour l'extérieur et un décor fait avec les moyens du bord pour l'intérieur) mais résulte d'un tel mélange de bric et de broc qu'il manque de cohérence esthétique.



Casting = 4,5 / 5
Les acteurs sont bons et Taizô Shiina possède les capacités physiques nécessaires pour effectuer lui-même certaines cascades et exercices difficiles (Essayez un peu de vous tenir en équilibre sur les pied et la tête avec le dos face au sol pour voir!).



Combats = 5 / 5
Pour une série basée sur le catch, il était indispensable que les combats soient soignés et c'est le cas ici. Ils bénéficient même de la participation d'authentiques catcheurs en guests et comme suit-actors.



Effets spéciaux = 4 / 5
Le côté fauché et calamiteux des effets spéciaux est entièrement voulu et assumé et contribue grandement à l'humour de la série.



Musique = 4 / 5
高梨 康治 (Takanashi Yasuharu) signe une partition dans laquelle alternent des musiques légères pour les scènes humoristiques et épiques pour celles d'action. Le thème qui accompagne la transformation de Fire Leon est particulièrement réussi mais le plus souvent diffusé dans une version très écourtée (Allez dans les menus des DVDs pour l'écouter dans son entièreté).



Générique = 3 / 5
Rien à redire sur la chanson du générique de début, ファイヤー レオン の 歌 (Fire Leon no uta) = La chanson de Fire Leon par 森嶋 秀太 (Morishima Shûta) qui est épique à souhait mais le générique est désagréable à l'œil avec ses images trop sombres, ses filtres rouges et les personnages surexposés sur un fond bleu blanc rouge, sans parler de plans WTF du style Fire Leon faisant fleurir des fleurs à l'aide de son souffle enflammé. Faire apparaître les personnages principaux sous forme de cartes à collectionner comme celles que Bushiroad consacre justement aux catcheurs est cependant une bonne idée.


Il n'y a pas vraiment de générique de fin, les crédits apparaissant simplement à l'écran durant les deux dernières minutes de l'épisode pendant qu'on entend Challengerz de Breakers.




NOTE FINALE = 15,4 / 20



Toku-Actrice(s) :